« Génocide » : Elizabeth Warren tire la sonnette d’alarme sur la guerre à Gaza


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Les reportages horribles dont le monde a été témoin proviennent de journalistes gazaouis sur le terrain, qui doivent équilibrer leur propre sécurité – ainsi que celle de leurs familles – avec le devoir de documenter les attaques, les atrocités et la vie quotidienne alors que la guerre se poursuit. son sixième mois. Un petit nombre de médias ont été autorisés à pénétrer sur le territoire sous escorte militaire, mais ils sont soumis à la censure militaire israélienne. Des journalistes gazaouis, comme Motaz Azaiza, Plestia Alaqad, Bisan OwdaHind Khodary et d’autres ont dû s’appuyer sur des publications virales sur les réseaux sociaux pour diffuser leurs reportages non censurés.

Il va donc de soi que les journalistes étrangers dénonceraient les effets encore plus horribles des attaques militaires israéliennes, comme l’auraient déclaré des responsables américains de manière anonyme. La semaine dernière, l’animateur de radio britannique James O’Brien a tiré la même conclusion dans l’émission Leading Britain’s Conversation.

“Peut-être qu’Israël ne peut pas accepter ce qui serait réellement rapporté.”
@mrjamesob pousse son interlocuteur Trevor à expliquer pourquoi Israël ne laisse pas entrer les journalistes étrangers à Gaza. pic.twitter.com/7VTIsmos2B

– LBC (@LBC) 3 avril 2024

Au moins 95 journalistes et professionnels des médias comptent à ce jour parmi les morts des suites de la guerre, selon enquêtes préliminaires du Comité pour la protection des journalistes. Tous les morts ne viennent pas non plus de Gaza : parmi les victimes confirmées par les médias figurent 90 Palestiniens, deux Israéliens et trois Libanais.





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